Catherine BEDIGIS, psychanalyste sur Seillans
Psychanalyste et Psychopraticienne
son complément ?
Pourquoi suis-je « comme ça » ?




Aller plus loin dans la psychanalyse
thérapies brèves, Hypnose, etc… qui utilisées par des
professionnels bien formés ayant une pratique régulière
apportent également des solutions.
Aujourd’hui, ce mal-être, parfois cette souffrance, que vous
pouvez ressentir dans votre vie intime, dans votre vie familiale,
sociale ou professionnelle sont toujours trop présents et vous
souhaitez peut être aller plus loin.
Catherine Bedigis : Qui suis- je ?
Mon appartenance à l’EFPP me permet de partager en permanence avec des collègues,
d’actualiser mes connaissances, d’avoir l’appui indispensable d’un superviseur pour accompagner ma pratique professionnelle et d’ajouter régulièrement de nouvelles compétences
Vos questions à une psychanalyste sont nombreuses
Quelles sont mes spécialités ?
Je suis spécialisée dans l’exploration des traumatismes, la gestion des émotions, les troubles relationnels, notamment sur l’aide à la parentalité (relation Parent/enfant). J’ai beaucoup travaillé aussi sur les traumatismes passés telles que les violences sexuelles ou l’inceste.
Mon but : Vous aider à retrouver la confiance en soi et l’estime de soi.
Quels sont les patients qui consultent ?
J’accompagne des adultes souhaitant travailler sur leurs problématiques relationnelles, de mal être persistant, que ce soit dans leur environnement familial ou professionnel. Des parents qui ont besoin d’aide dans leur statut de parent, des couples pouvant avoir besoin de mieux communiquer.
Est-il possible de consulter en ligne ?
Oui, pour répondre aux besoins de mes patients temporairement éloignés géographiquement ou avec des contraintes de d’horaire ou de vie quotidienne, je propose des consultations en visioconférence.
L’important est que vous soyez dans un lieu calme et sans aucune interférence.
Quelle est ma philosophie en matière de thérapie ?
Je crois en la capacité de chacun à évoluer et à surmonter ses blocages grâce à un travail introspectif soutenu par une alliance thérapeutique de confiance. « Guérir ne veut pas dire que la blessure n’a jamais existé, Guérir veut dire que la blessure ne nous contrôle plus »